Je commence par un warning: je ne suis pas ce qu’on appelle un fan invétéré de films d’horreur. Les explosions de sang, les scénarios anxiogènes, les tortures à l’écran, c’est pas mon truc. Je vois toujours du premier degré et je ne prends pas un énorme plaisir à contempler la souffrance d’autrui. Mais comme il faut des exceptions à toute règle, j’ai quand même visionné un certain nombre de films d’horreur avec satisfaction. Donc je ne suis pas complètement perdu dans cet univers. Mais il faut un scénario béton, un arrière plan philosophique et du fond. De la substance. Sinon c’est bassement gratuit (en tout cas pour moi) et ça ne m’intéresse que très peu voire pas du tout. Voyons donc mes 5 films d’horreur préférés vus au cinéma. Je n’en ai peut être pas vu beaucoup plus….

American Nightmare

Voilà, typique du scénario moins gratuit qu’il n’y parait. Une nuit par an, tous les crimes sont possibles aux Etats-Unis. La police ne  répondra pas aux appels, les pompiers n’interviendront pas, les ambulances ne circuleront pas. Le principe n’est pas complètement bidon et le résultat est vraiment glaçant. Ceux qui sortent se font dézinguer ou dézinguent. Et ceux qui restent chez eux achètent des systèmes de protection ultra perfectionnés pour rester tranquilles. Sauf qu’aucun système n’est vraiment efficace contre des groupes ultra déterminés. Quand une famille accueille un individu recherché pour être massacré c’est le début des ennuis… Critique sur 24filmsparseconde et film à qui je mettrai bien plus que 2,5/5 aujourd’hui.

Massacre à la Tronçonneuse

Le mètre étalon de tous les films d’horreur! Un groupe d’étudiant atterrit dans une région reculée des Etats-Unis où sévit une famille de dégénérés. Le patriarche a officié dans un abattoir et transmis quelques regrettables habitudes à sa tribu… L’effroi est à son paroxysme pour un film dénué de toute scène trash. Si on regarde bien, on ne voit absolument rien à l’écran. Mais l’esprit est putride et l’effet considérable sur les spectateurs. Je me suis laissé tenté à le voir lors d’une rediffusion récente sur grand écran, pas une mouche ne volait dans la salle, le film est diablement efficace. Ca donne pas envie de voyager en voiture entre potes et surtout de prendre un autostoppeur…

The Descent

Un groupe de poulettes sexy décide de faire de la spéléologie et tombe sur des créatures bizarres. Je dois avouer avoir beaucoup rigolé devant ce film. Pas crédible, à la limite de la caricature, voilà, c’est l’exemple parfait du film d’horreur qui me laisse complètement froid. L’objectif est simplement de faire peur. L’idée d’une mutation d’êtres humains enfermés sous terre et obligés de s’adapter pour survivre m’a légèrement intéressé. Mais bon, c’est quand même super gratuit… Et puis j’ai rien compris à la fin du film, peut être parce que j’étais en train de m’endormir. Il fallait un contre exemple, c’est celui là. Voilà, contre exemple parfait, qui ne fait donc pas partie de ma liste.

Shining

Bien plus qu’un film d’horreur, Shining est un chef d’oeuvre de Stanley Kubrick. Jack Nicholson doit passer l’hiver avec sa famille dans un hôtel reculé du Colorado édifié sur un ancien cimetière indien. Il commence à perdre les pédales, le peu d’activités et les longs couloirs interminables des lieux le font cogiter, avoir des hallucinations et un esprit semble prendre possession de son corps. Un film hypnotique et fascinant. Un documentaire entier nommé Room 237 multiplie les thèses sur le film. Preuve que Shining fait bien bien réfléchir. Je me souviens l’avoir vu assez jeune, j’étais pétrifié. Quant à Nicholson, il livre une prestation inoubliable. Un des films préférés des fans de Kubrick.

28 jours / 28 mois plus tard

Pas mega fan des films de zombie, je me suis laissé tenté par la doublette 28 jours / 28 semaines plus tard. Et quelle claque! Le monde est plongé dans le noir suite à un mystérieux virus qui a transformé une partie de la population en zombies attaquant l’autre partie saine de la population Un individu se réveille dans un hôpital abandonné de ses occupants. Quelques scènes bien gores mais surtout un scénario incroyable de terreur et de stress. Et cette musique… Vivement la suite 28 mois plus tard pas encore prévue à ce jour, hélas… La scène de début de 28 mois plus tard est un chef d’oeuvre du cinéma. La musique, le montage mitraillette, les visages terrifiés, la mort qui rode, le sacrifice, l’instinct de survie, c’est à regarder en boucle tellement c’est bon… terrifiant… Robert Carlyle est à tomber. Quand il voit sa femme à la fenêtre mais qu’il ne peut pas s’arrêter de courir… glaçant!

Le silence des Agneaux

Un des plus grands méchants de l’histoire du cinéma sévit dans le film de Jonathan Demme. Hannibal le cannibale a fait rentré Anthony Hopkins dans l’éternité aux côtés de Dark Vador et du Joker. Une enquêtrice doit interroger un détenu particulièrement retors pour identifier un serial killer. Un jeu s’instaure entre la jeune Jodie Foster et le psychiatre froid et distant. Le jeu du chat et de la souris est pétrifiant et le scénario du film regorge de surprises… gore et horribles. Pas vraiment un film d’horreur, plutôt un thriller avec ces scènes horrifiantes. Et un chef d’oeuvre.

American Nightmare

Voilà, typique du scénario moins gratuit qu’il n’y parait. Une nuit par an, tous les crimes sont possibles aux Etats-Unis. La police ne  répondra pas aux appels, les pompiers n’interviendront pas, les ambulances ne circuleront pas. Le principe n’est pas complètement bidon et le résultat est vraiment glaçant. Ceux qui sortent se font dézinguer ou dézinguent. Et ceux qui restent chez eux achètent des systèmes de protection ultra perfectionnés pour rester tranquilles. Sauf qu’aucun système n’est vraiment efficace contre des groupes ultra déterminés. Quand une famille accueille un individu recherché pour être massacré c’est le début des ennuis… Critique sur 24filmsparseconde et film à qui je mettrai bien plus que 2,5/5 aujourd’hui.

Massacre à la Tronçonneuse

Le mètre étalon de tous les films d’horreur! Un groupe d’étudiant atterrit dans une région reculée des Etats-Unis où sévit une famille de dégénérés. Le patriarche a officié dans un abattoir et transmis quelques regrettables habitudes à sa tribu… L’effroi est à son paroxysme pour un film dénué de toute scène trash. Si on regarde bien, on ne voit absolument rien à l’écran. Mais l’esprit est putride et l’effet considérable sur les spectateurs. Je me suis laissé tenté à le voir lors d’une rediffusion récente sur grand écran, pas une mouche ne volait dans la salle, le film est diablement efficace. Ca donne pas envie de voyager en voiture entre potes et surtout de prendre un autostoppeur…

The Descent

Un groupe de poulettes sexy décide de faire de la spéléologie et tombe sur des créatures bizarres. Je dois avouer avoir beaucoup rigolé devant ce film. Pas crédible, à la limite de la caricature, voilà, c’est l’exemple parfait du film d’horreur qui me laisse complètement froid. L’objectif est simplement de faire peur. L’idée d’une mutation d’êtres humains enfermés sous terre et obligés de s’adapter pour survivre m’a légèrement intéressé. Mais bon, c’est quand même super gratuit… Et puis j’ai rien compris à la fin du film, peut être parce que j’étais en train de m’endormir. Il fallait un contre exemple, c’est celui là. Voilà, contre exemple parfait, qui ne fait donc pas partie de ma liste.

Shining

Bien plus qu’un film d’horreur, Shining est un chef d’oeuvre de Stanley Kubrick. Jack Nicholson doit passer l’hiver avec sa famille dans un hôtel reculé du Colorado édifié sur un ancien cimetière indien. Il commence à perdre les pédales, le peu d’activités et les longs couloirs interminables des lieux le font cogiter, avoir des hallucinations et un esprit semble prendre possession de son corps. Un film hypnotique et fascinant. Un documentaire entier nommé Room 237 multiplie les thèses sur le film. Preuve que Shining fait bien bien réfléchir. Je me souviens l’avoir vu assez jeune, j’étais pétrifié. Quant à Nicholson, il livre une prestation inoubliable. Un des films préférés des fans de Kubrick.

28 jours / 28 mois plus tard

Pas mega fan des films de zombie, je me suis laissé tenté par la doublette 28 jours / 28 semaines plus tard. Et quelle claque! Le monde est plongé dans le noir suite à un mystérieux virus qui a transformé une partie de la population en zombies attaquant l’autre partie saine de la population Un individu se réveille dans un hôpital abandonné de ses occupants. Quelques scènes bien gores mais surtout un scénario incroyable de terreur et de stress. Et cette musique… Vivement la suite 28 mois plus tard pas encore prévue à ce jour, hélas… La scène de début de 28 mois plus tard est un chef d’oeuvre du cinéma. La musique, le montage mitraillette, les visages terrifiés, la mort qui rode, le sacrifice, l’instinct de survie, c’est à regarder en boucle tellement c’est bon… terrifiant… Robert Carlyle est à tomber. Quand il voit sa femme à la fenêtre mais qu’il ne peut pas s’arrêter de courir… glaçant!

Le silence des Agneaux

Un des plus grands méchants de l’histoire du cinéma sévit dans le film de Jonathan Demme. Hannibal le cannibale a fait rentré Anthony Hopkins dans l’éternité aux côtés de Dark Vador et du Joker. Une enquêtrice doit interroger un détenu particulièrement retors pour identifier un serial killer. Un jeu s’instaure entre la jeune Jodie Foster et le psychiatre froid et distant. Le jeu du chat et de la souris est pétrifiant et le scénario du film regorge de surprises… gore et horribles. Pas vraiment un film d’horreur, plutôt un thriller avec ces scènes horrifiantes. Et un chef d’oeuvre.