Les années 70 représentent un âge d’or incomparable dans l’esprit de beaucoup de cinéphiles avec des opus restés gravés dans l’inconscient collectif. Toutes les expériences semblaient possibles à cette époque pour des résultats restés comme des pierres angulaires de l’histoire du cinéma. Massacre à la tronçonneuse reste toujours le film d’horreur ultime, Apocalypse Now a sublimé le concept de film de guerre, John Cassavetes traficotait dans son coin pour réaliser les chefs d’œuvre Opening Night et Une femme sous influence, Coppola encore lui réalisait les deux premiers Parrain, Kubrick livrait le drame ouaté Barry Lindon, Cimino se risquait dans une évocation terrifiante du Vietnam avec Voyage au bout de l’enfer, Brian de Palma livrait le film Opera Rock ultime avec Phantom of the Paradise, Woody Allen se laissait aller à la fantasmagorie personnelle avec Manhattan et le cinéma français vivait ses plus belles heures. Les choses de la vie, Nous ne vieillirons pas ensemble, l’Aveu, rien de tel se serait possible aujourd’hui, peut-être. Sans oublier Bergman avec son très beau Sonate d’automne, et puis Tarkovski avec l’hypnotique Le Miroir et Skolimovski avec Deep end. Et Ken Russell livrait une évocation floklorique de Tchaikovsky dans Music Lovers. Un âge béni, vous dis-je…
Rocky
Music Lovers
Apocalypse Now
Le Parrain 2
Barry Lindon
Voyage au bout de l’enfer
Vol au-dessus d’un nid de coucous
Serpico
Phantom of the paradise
French Connection
Mean Streets
Le Locataire
Un après-midi de chien
Manhattan
Solaris
La Maman et la putain
Aguirre, la colère de Dieu
Délivrance
L’arnaque
La vie de Brian
Macadam Cowboy
Pat Garrett et Billy the Kid
Une femme sous influence
Les chiens de paille
Massacre à la tronçonneuse
Le miroir
Opening night
Deep end
Johnny s’en va-t-en guerre
Sonate d’automne
Papillon
L’aveu
Nous ne vieillirons pas ensemble
Les choses de la vie