Author
Liam Debruel
Critique : Peut-on vraiment entamer une chronique sur une banalité telle que l’importance du cinéma italien ? Sans doute quand certaines personnes ignorent encore les répercussions du néoréalisme, permettant de retracer un réel pour mieux interroger les politiques sur la vie de… Continue Reading →
Critique : On en avait déjà parlé pour le très bon « Titina » mais l’animation, derrière ses possibilités d’émerveillement que l’on résume surtout à une jeune audience, conserve une multiplicité d’explorations thématiques qui rappellent son importance cinématographique. Comment en effet ignorer tout… Continue Reading →
Critique : Jack Arnold a beau être plus connu pour ses films clairement orientés genre comme « L’homme qui rétrécit » ou encore « L’étrange créature du lagon noir », il n’en reste pas moins un réalisateur américain à la régularité forte dans différents domaines…. Continue Reading →
Critique : Cela fait un bon moment que l’on connaît Zhang Yimou en tant que grand esthète du cinéma chinois, notamment après la visibilité mondiale que lui ont attirée « Hero » et « Le secret des poignards volants » il y a plus de… Continue Reading →
Critique : La structure familiale constitue toujours un excellent terreau pour la fiction par ses ramifications réflexives. En effet, comment ne pas s’amuser de la façade morale imposée par la norme, celle des parents avec enfant(s) qui doivent absolument s’ancrer dans… Continue Reading →
Critique : Faut-il rappeler l’importance de la fiction pour chroniquer un état moral et social du réel ? Sans doute pas pour toutes les personnes qui savent l’importance de la création dans l’expression intime et universelle, mais il existe toujours quelques personnes… Continue Reading →
Critique : Les droits des femmes ont beau devoir être un acquis, la violence de notre monde rend la lutte malheureusement permanente. Il suffit de constater le nombre toujours important de féminicides ou ces obligations morales que l’on impose pour constater… Continue Reading →
Critique : Solide artisan, Lewis Teague a vu sa carrière être mise en avant par deux films animaliers. D’un côté, « L’incroyable alligator », série B aussi acide que fun. De l’autre, « Cujo », adaptation de Stephen King que l’on ne présente plus par… Continue Reading →
Critique : L’importance du néoréalisme italien sur le paysage cinématographique transalpin reste ardente, à l’image de titres s’orientant pleinement vers une nouvelle itération du genre, le modernisant tout en respectant son héritage. La sortie chez Carlotta de ce « Bandits à Orgosolo »… Continue Reading →
Critique : Certaines personnes ont beau reprocher à différents cinémas une sur-présence de la question relationnelle et des liaisons en leur sein, il est dur de comprendre cette critique tant cela a toujours servi de moteur émotionnel aussi intense que proche… Continue Reading →